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Nouvelle petite avancée dans le monde médical, à l'aide une fois de plus d'une imprimante 3D. En effet, des chercheurs de l'Université de Newcastle ont réussi à créer les premières véritables cornées humaines au monde, le tout en se servant d’une imprimante !
La demande de transplantation cornéenne dans l'industrie médicale est plus qu’importante, mais pour ceux qui veulent une intervention chirurgicale, la liste d'attente peut être très longue. L'équipe, qui souhaitait raccourcir ces listes, a prélevé des cellules-souches cornéennes d'un donneur sain pour créer des cornées artificielles, avant de mélanger l'échantillon avec de l'alginate et du collagène. Ainsi, ils ont obtenu une «bio-encre» qui pourrait être façonnée en cornée à l'aide d'une imprimante 3D.
«De nombreuses équipes à travers le monde essaient de créer la bio-encre idéale pour rendre ce processus viable. Nos gels spéciaux, une combinaison d'alginate et de collagène, sont suffisamment durs pour conserver leur forme tout en maintenant les cellules-souches vivantes. Un matériau souple peut ainsi être créé, qui peut être en sus de cela retiré d'une imprimante 3D. " a déclaré l’un des responsables de l’exploit.
Celui-ci a également ajouté que les cornées produites par l'équipe devraient être soumises à plus de tests et que cela pourrait prendre plusieurs années avant que la technologie ne soit disponible dans le processus de transplantation. Cela dit, ces tests démontrent qu’il est possible d’imprimer les cornées à l’aide de coordonnées prises par l’œil du patient.
Une nouvelle révolution qui permettrait de venir en aide à de nombreux patients, dans un avenir que l’on espère proche.
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On ne le dira jamais assez, il est tout à fait possible d’imprimer en étant responsable et écologique. En effet, entre la recharge de cartouche et l’utilisation d’astuces diverses, imprimer de manière plus verte est tout à fait possible.
L’impression 3D entre aussi en ligne de compte, et dans une optique de « récupération », des chercheurs sont allé récupérer un curieux élément pour donner vie à des objets.
En effet, des scientifiques de l’université de Toronto sont allés récupérer de l’huile à friture de chez McDonald’s pour alimenter leur imprimante. En effet, au vu du prix exorbitant de la résine nécessaire à leurs tests, ils se sont tournés vers l’huile de cuisson, qui contient des molécules proches de la résine en question. Si l’idée était aussi originale que pratique, trouver de l’huile usée en grande quantité fut compliqué. Après avoir essuyé de nombreux refus de la part de Fast Food divers, c’est finalement McDonald’s qui a accepté de les aider.
10 litres d’huile reçu plus tard, il a juste fallu filtrer le tout afin d’enlever toute particule de nourriture et voilà !
Le franchisé qui tenait le restaurant venu à la rescousse, Terri Toms, s’est dit ravi de pouvoir apporter sa petite pierre à l’édifice. La porte-parole de McDonald’s au Canada s’est aussi exprimée à ce sujet, arguant que c’était une belle initiative qui pourrait avoir de belles répercussions sur l’avenir de l’impression.
Gageons que des alternatives comme celle-ci devraient apparaitre au fil du temps, ce qui permettrait de moins compter sur les plastiques et autres résines et, au contraire, récupérer ce qui est récupérable pour imprimer consciencieusement.
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